La semaine dernière, ARTE diffusait un reportage sur les poisons dont nos aliments sont porteurs : tous ceux qui travaillent dans la chaîne alimentaire savent en effet que notamment les pesticides sont de dangereux auxiliaires de l’agriculture, mais très rares sont ceux qui prennent la décision de ne plus empoisonner les consommateurs. La finance s’est emparé du secteur et il n’est pas question pour l’instant de cesser de considérer les matières premières agricoles – le riz, le blé, le maïs, le tournesol, le colza, l’eau – comme des produits relevant, comme tous les autres, de la compétition boursière… Les investisseurs qui grossissent les rangs des spéculateurs se sont emparés de nos aliments afin de multiplier leurs chances de grossir leur fortune à des niveaux jamais atteints. Que des hommes en meurent leur est parfaitement indifférent : leur âme et leur esprit n’ont rien à envier au comportement des assassins.
Ce soir j’ai assisté au « dévoilement » des méfaits de l’aluminium sur le corps humain : certains dénonce la responsabilité de ce métal sur l’accroissement d’une maladie qui fait peur à chacun de nous, l’alzheimer ! Ce n’est qu’un aspect des nuisances créées par les différents états de l’aluminium.
On sait, sauf le porte parole de Monsieur Baroso à Bruxelles affirmant sans rire, avec une assurance invraisemblable que ne peut justifier qu’une bêtise insondable ou une accointance secrète et coupable avec les pontes de cette industrie : « Il n’y a pas à urgence à décider, rien n’est vraiment certain »… On pense ici à Monsieur Sellier…
La France a développé le concept de prévention : le devoir de prévoyance, le principe de précaution… Parapluie commode pour ne rien faire tant que l’urgence n’est pas proclamée, c’est-à-dire tant que les malades et les morts ne s’accumulent pas dans les cimetières !
C’est ainsi qu’un chercheur a recommandé aux industriels de l’eau, voici déjà plusieurs années, de supprimer l’oxyde d’aluminium au profit de l’oxyde fer dans le processus de traitement de l’eau destinée à la consommation quotidienne : seulement une sur trois des installations sont passées d’une technologie à l’autre, hélas plus coûteuse à installer que la première… Des questions de gros sous vont probablement causer d’innombrables troubles de nature cognitive et/ou immunologique…
Les particules d’aluminium en effet sont comme attirées par le cerveau : certains ouvrier d’une usine d’aluminium au Brésil ont eut certaines parties de leur cerveau brûlées…
Il conviendrait que tous ceux qui éprouvent, par exemple, des problèmes de mémoire demandent à leur médecin de faire analyser leur taux d’aluminium dans leur sang et les lieux du corps où ce métal aime à se loger…
Que mon lecteur se rende sur le site d’Arte et cherche à visionner le reportage hallucinant dont les révélations justifie la force et la brutalité du titre de ce texte.