Lundi 2 novembre, les catholiques de France ont pu assister à leur dernière messe avant leur interdiction pour cause de confinement jusqu’à une date indéterminée. Le Conseil d’État a rejeté les recours juridiques, alors même qu’on avait assisté à une forte mobilisation des croyants et de non croyants. Pourquoi cette liberté de culte et la messe sont-ils des biens essentiels ?
Avec Mgr Ginous, évêque de Montauban, l’abbé Philippe de Maistre, curé de Saint-André de l’Europe à Paris, Jean-Frédéric Poisson, président de VIA et Thibault Collin, philosophe.