Le Père Lataste - France Catholique
Edit Template
L'amour du travail bien fait avec saint Joseph artisan
Edit Template

Le Père Lataste

Le 27 juin dernier, le Saint-Père a autorisé la promulgation du décret reconnaissant un miracle dû à l'intercession du Père Jean-Joseph Lataste, prêtre dominicain français (1832-1869), fondateur des Tertiaires de saint Dominique de Béthanie, une congrégation excessivement discrète.
Copier le lien

Le 15 septembre 1864, à quatre heures et demie du matin, un dominicain de trente-trois ans, le Père Jean-Joseph Lataste, entrait dans l’ancien château des ducs d’Épernon, transformé en « maison de force », à Cadillac (Gironde), pour y prêcher une retraite aux détenues.

http://www.zenit.org/article-28341?l=french

http://dominicainesdebethanie.org/-Le-pere-Lataste-.html

Né à Cadillac, il était souvent passé pendant son enfance devant l’impressionnante bâtisse et savait ce que ses concitoyens pensaient des prisonnières : des voleuses, des criminelles, des filles et des femmes « perdues ». Aussi, est-ce sans enthousiasme mais par obéissance et après avoir beaucoup prié qu’il allait à leur rencontre. « Je suis entré, écrira-t-il plus tard, dans la Maison de Force avec un grand serrement de cœur et la pensée que c’était ou que ce serait peut-être inutile. » Cependant, il avait préparé ses « instructions » avec un soin extrême en mettant davantage l’accent sur la miséricorde de Dieu que sur l’expiation. Il n’ignorait pas que cette retraite était une « première » : jamais encore on n’en avait organisé à Cadillac et c’est sur l’insistance de l’aumônier et des religieuses de la Sagesse chargées de la prison que l’administration avait fini par l’autoriser.
Qui sont les femmes qui purgent là des peines de réclusion et de travaux forcés ? La plupart des rurales venues à la ville pour trouver du travail et qui, pour échapper à des situations de détresse, à la fatigue de journées interminables dans les fabriques, à la misère, ont cédé à de trompeuses promesses de bonheur et sont devenues des prostituées. Certaines ont tué pour se venger des violences, des outrages qu’elles avaient subis. D’autres, enceintes, ont eu recours aux avorteuses et ont été condamnées pour infanticide. Beaucoup ont commis des délits sous l’emprise de l’alcool.
« Je ne saurais dire l’impression qui me saisit au cœur au moment où je les vis, a raconté le Père Lataste. Elles étaient là près de quatre cents, couvertes de vêtements grossiers, la tête enveloppée d’un mouchoir étroitement serré autour des tempes qui leur donnait une physionomie singulière et (il me le parut du moins) vraiment repoussante. »
Presque toutes, en effet, sont venues à la chapelle aménagée dans l’ancienne salle des gardes, en prenant sur leur sommeil car le travail forcé de la journée ne peut être réduit. Par curiosité ? Pour échapper à la monotonie de la vie carcérale ? Par crainte d’être mal vues de leurs gardiens ? Par souci d’être bien notées ? Par besoin de réfléchir sur leur destin ? Peut-être par désir de renouer avec Dieu ? Toujours est-il qu’elles étaient là à quatre heures et demie du matin quand le Père Lataste apparut.
Son habit blanc et noir de dominicain et sa grande tonsure monastique les surprirent. Dans les campagnes et les faubourgs des villes, elles n’avaient pas eu l’occasion de voir des religieux de l’ordre des Frères Prêcheurs restauré depuis peu par Lacordaire. Sa jeunesse aussi les étonna mais surtout sa parole. Que disait-il ? Entendaient-elles bien ?

« Mes Chères Sœurs, comprenez-vous pourquoi je vous appelle ainsi ? Que n’êtes-vous après tout ? Vous êtes… mises au ban de la société ? Si vous sortiez d’ici, si l’on savait d’où vous sortez, on vous montrerait du doigt, on se méfierait de vous. Je n’approuve pas cela, je sais bien que c’est injuste, souvent cruel, tout ce que vous voudrez, mais enfin c’est ainsi.
« Et moi, ministre de Dieu, je viens à vous de moi-même, sans attendre que vous m’ayez appelé et, en vous tendant la main, je vous appelle mes Chères Sœurs. Et ce n’est pas une parole banale, je suis tout prêt à faire pour vous bien plus encore… Et d’où vient que vous m’êtes si chères, vous que le monde oublie et méprise ? C’est que je suis le ministre d’un Dieu qui vous aime malgré vos souillures, d’un amour sans égal ici-bas, d’un Dieu qui vous poursuit de son amour sans cesse, qui maintenant encore, à l’instant où je vous parle, se tient invisiblement à la porte de votre cœur. »

Pourquoi sont-elles détenues ? Ce n’est pas Dieu qui les a emprisonnées. Dieu ne châtie pas parce qu’il aime. Il les a laissées vivre comme elles voulaient, elles ont fait ce qu’elles ont fait et il intervient là où elles se trouvent aujourd’hui et, par la voix d’un prêtre, il parle à leur cœur. Aimer Dieu et en être aimé, cette joie que les moniales volontairement séparées du monde connaissent, les détenues peuvent aussi la connaître si elles s’abandonnent totalement à lui. Alors, elles pourront sublimer leur réclusion et s’ouvrir à un nouveau destin.

Les femmes étaient libres de revenir à la chapelle pour l’instruction du soir ou d’aller dormir. Elles revinrent toutes et encore les jours suivants. Sans doute se sentaient-elles plus ou moins confusément appelées à une libération intérieure ? « Pour Dieu ce qui compte, leur dit le Père Lataste, ce n’est pas ce que nous avons été ; il n’est touché que de ce que nous sommes. Dieu ne pèse les âmes qu’au poids de leur amour. Il veut faire naître en elles un être nouveau. Ainsi fit-il pour Marie-Madeleine, la pécheresse qui ne fut tant pardonnée que parce qu’elle avait beaucoup aimé. Dieu ne vous demandera pas si vous êtes demeurées toujours pures, toujours fidèles ; il vous demandera si vous l’aimez beaucoup. »

C’est au couvent de Saint-Maximin (Var) dont l’admirable église est dédiée à sainte Marie-Madeleine et à la Sainte-Baume qu’au cours de ses années de théologie, le Père Lataste a « découvert » Marie-Madeleine à qui le Père Lacordaire venait de consacrer un livre. La pécheresse du repas chez Simon de l’Évangile de Luc, qu’il identifie à Marie de l’onction à Béthanie, fidèle à Jésus jusqu’au pied de la croix et qui fut, au matin de Pâques, l’annonciatrice de la Résurrection du Christ, a marqué pour toujours sa vie spirituelle. « Pour avoir été à l’école de Marie-Madeleine, écrit une dominicaine de Béthanie, il sait que pour Dieu tous les mea culpa ne valent pas un Je t’aime !

Après l’instruction du soir, les détenues qui le désiraient pouvaient se rendre à la sacristie pour se confesser. C’était le moment du dialogue avec le prêtre. Comme l’une d’elles, ses aveux livrés, fondait en larmes, le Père lui demanda si c’était à cause de la dureté de la prison ou du souvenir de ses fautes et il reçut cette réponse : « Mais c’est de joie que je pleure, mon Père ! Je ne savais pas que Dieu m’aimait ! Je suis transformée. Je suis libre. »
Avant de donner l’absolution à d’autres, il faut qu’il sache si elles ont pardonné à ceux qui ont eu une large part de responsabilité dans leur faute et il entend : « Mon père, si Dieu me pardonne, comment pourrais-je ne pas pardonner à mon tour ? Non seulement c’est fait mais je prie pour ceux qui m’ont fait tant de mal. » Et encore : « Je n’ai plus qu’un désir : vivre pour ce Dieu que vous m’avez fait connaître. La seule chose que je demande, c’est de ne plus retomber. »

Mais aussi : « Même moi, après tout ce que j’ai fait, est-ce possible que Dieu m’appelle à être auprès de lui ? »

Dès la première instruction, il avait été frappé par la qualité de recueillement des retraitantes mais leurs confessions le bouleversèrent. En quittant la Maison de Force, il répétera à son entourage : « J’ai vu des merveilles ! Je suis émerveillé de ce que j’ai vu dans ces âmes. »

« En entendant en confession les aveux des détenues, le Père Lataste saisit mieux qui est Dieu. Oui, elles ont tué. Oui, elles ont sombré dans la prostitution, dans l’alcoolisme. Elles ont peut-être désespéré jusqu’à projeter leur suicide et pourtant ce sont elles qui l’évangélisent. Il croyait devoir prodiguer à chacune des paroles de consolation et ce sont elles qui lui parlent avec transport de leur bonheur d’avoir retrouvé Dieu. Un mot extraordinaire va même surgir maintenant dans son discours : innocence. Il a perçu l’inimaginable : il a saisi comme un secret découvert par surprise, que leur relation à Dieu les a recréées au point d’effacer leur passé, de les rendre innocentes. 1

Comme le rappelait le cardinal Lustiger dans un entretien sur le pardon à Radio Notre-Dame : « Dans sa vie publique, le Christ lit dans le cœur des pécheurs, il leur transmet le pardon du Père des cieux. Ce faisant, lui, le Fils, il prolonge l’acte créateur de Dieu… Sur la croix, par l’offrande de sa liberté, par le sacrifice de sa vie, en subissant les conséquences de l’action des hommes pécheurs, Jésus retourne leur cœur. D’homicides, il veut en faire des hommes capables d’aimer. Il ne s’agit pas seulement de pardonner un acte, mais de changer le cœur d’où cet acte mauvais a jailli ; pas simplement de pardonner un méfait, mais de purifier la source de tous les méfaits, la liberté blessée de l’homme pour qu’il sache enfin ce qu’il a fait et ce qu’il devrait faire. Lorsque nous pardonnons, nous participons à l’action créatrice que le Père accomplit par son Fils. Nous sommes poussés par l’Esprit Saint, source de l’amour et du pardon. » Ainsi faisaient les pénitentes du Père Lataste.

Appelée à présenter au synode des évêques de 1983, en présence du pape Jean-Paul II, une relation sur les dominicaines de Béthanie, Sœur Catherine-Magdeleine, prieure générale de la congrégation, insista sur le fait que le Père Lataste fut le témoin émerveillé de l’amour de Dieu chez les détenues de Cadillac dans l’exercice du ministère de la Réconciliation. « C’est à partir de leur réconciliation avec Dieu qu’elles comprirent qu’au fond elles étaient faites pour l’amour de Dieu, que leurs passions, – détournées de leur objet et par là, source de leur égarement – viennent en réalité de Dieu et ne trouvent qu’en lui leur apaisement. Sœur Emmanuelle-Marie, Marie-Madeleine a encore quelque chose à dire, éditions Nouvelle Cité/Cerf, 230 pages, 8 e. »

La retraite s’acheva par une nuit d’adoration du Saint-Sacrement à laquelle la participation des femmes, en dépit des fatigues de la journée, dépassa toutes les prévisions.

« Dans la nuit du samedi au dimanche, le Saint-Sacrement resta exposé ; on avait permis à celles qui le voulaient de demeurer ou de passer quelques heures devant lui. Je pensais, écrivit le Père Lataste, qu’elles se relèveraient deux par deux comme cela se fait partout. Quelle fut ma surprise, en sortant du confessionnal, après dix heures, d’en voir près de deux cents à la fois, faisant leur adoration avec un silence et un recueillement qui, sans contredit, eût fait honneur à une communauté reli­gieuse. Il fut im­possible de les résoudre à aller prendre du repos avant que la moitié de la nuit ne se fût écoulée, et, alors, elles furent remplacées par d’autres, à peu près du même nombre, qui avaient attendu impatiemment leur tour. »

Au cours de cette nuit, à genoux devant l’hostie exposée, il fit le projet audacieux de fonder une congrégation de dominicaines où des vocations venues de la prison seraient mêlées, sans distinction aucune, à des vocations nées dans un milieu catholique normal.

Il avait appris que quelques détenues souhaitaient devenir religieuses mais il savait qu’aucun couvent ne les accueillerait. Seuls les « refuges » s’ouvraient alors aux anciennes prisonnières « repenties ». Il eut le courage d’innover. Sitôt revenu dans son couvent de Bordeaux, il écrivit une Notice sur l’œuvre des réhabilitées qui, remaniée, parut en 1866, sous le titre Les réhabilités. Il employa le mot de réhabilitation qui ne lui plaisait pas tellement parce qu’il était à la mode et pouvait éveiller la curiosité ou mieux l’intérêt des milieux religieux. Comme il s’y attendait, sa proposition de pousser la réhabilitation jusqu’à confondre des « femmes honnêtes » avec d’anciennes criminelles fut loin d’entraîner l’adhésion générale.

Cependant la seconde retraite qu’il prêcha à Cadillac en 1865, cette fois à la demande expresse des détenues, l’encouragea à réaliser son projet de fondation d’une Maison de Béthanie « où les sœurs vivront toutes en communion de miséricorde dans une fraternité de grâce ». Mais pour aboutir, il lui fallait l’accord de la hiérarchie, une supérieure et un couvent.
Il avait rejoint le couvent de Flavigny, en Bourgogne, comme sous-maître des novices, quand il reçut la visite de Sœur Henri-Dominique, alors dans la quarantaine, que son provincial lui avait signalée comme capable d’assumer les difficiles fonctions de prieure de la Maison de Béthanie à fonder.
Ancienne religieuse de la Présentation qui avait dirigé une importante institution de jeunes filles dans la région de Montauban mais qui aurait été carmélite si son père ne s’y était pas opposé, elle était devenue dominicaine avec l’espoir de collaborer au projet d’une communauté ouverte à des femmes sorties de prison, « réhabilitées à leurs propres yeux par la miséricorde de Dieu » et voulait connaître exactement du Père Lataste lui-même quel genre de concours elle pouvait lui apporter.

Le jeune dominicain lui proposa aussitôt d’être la première prieure de la communauté. […] Sœur Dominique refusa dans un premier temps, multipliant les arguments pour refuser […] puis, après quatre jours de retraite au cours desquels elle eut la vision de Jésus-Christ en Croix, ayant à ses pieds, unies, la Vierge immaculée et Magdeleine la pénitente, elle demanda au Père Lataste de l’entendre en confession et l’absolution reçue lui dit : « Comme vous, je crois à la réhabilitation, à Béthanie. Me voici. »
La congrégation des dominicaines de Béthanie fut fondée le 14 août 1866 à Frasne (Jura) par le Père Lataste et quatre religieuses dont Sœur Henri-Dominique, prieure. Elle connut des difficultés de tous ordres au cours de ses premiers mois mais, le 23 juin 1867, arrive Angélique, âgée de quarante-trois ans, dont six ans de Cadillac et avec elle « la communauté trouve son équilibre interne comme si jusque-là, il lui avait manqué un élément constitutif essentiel. 2

Le premier jour de la retraite de septembre 1864, à Cadillac, cette femme, ce jour-là, de corvée d’eau, voulait se jeter dans le puits de la prison. Mais, après le premier sermon, touchée au cœur par les paroles du dominicain, elle avait repoussé la tentation du suicide qui, depuis plusieurs jours, l’obsédait et le soir même s’était confessée. « Oui, vous êtes pardonnée, lavée, innocente », lui avait dit le Père en lui souriant. Depuis, elle voulait rendre à ce Jésus condamné comme elle, chargé de son mal à elle, amour pour amour et l’aider à porter le mal du monde. Et c’est du Père Lataste qu’elle reçut l’habit en devenant Sœur Noël. Dix autres détenues de Cadillac rejoindront Béthanie, mais après la mort du Père, emporté par la tuberculose le 10 mars 1869. Au moment de devenir religieux, quand il avait, à vingt-sept ans, abandonné sa carrière de fonctionnaire des contributions directes, il s’était demandé : « Suis-je capable d’aimer selon l’Évangile ? »

Depuis 142 ans, Béthanie existe, proclamant la force de la grâce et de la vie nouvelle jaillie du mystère pascal et porte le message de l’Évangile aux détenues et à celles que le mal emprisonne de bien des manières.
« Une fois saisie par le Christ, écrit la prieure générale, comment ne pas désirer cette rencontre pour les autres ? C’est là que se situe notre apostolat dans les prisons qui est sans doute l’aspect sous lequel nous sommes les plus connues. S’il reste notre apostolat privilégié, étant donné nos origines, notre activité apostolique ne se limite pas là. Il faut y joindre notre approche de bien des femmes en détresse morale quelle qu’en soit la cause 3. »

Les dominicaines de Béthanie sont actuellement présentes en France, en Suisse et en Italie. Ces communautés se composent de religieuses venant les unes de prison et de la marginalité, les autres de réputation intacte mais toutes appelées et réunies par Dieu pour vivre ensemble, en sœurs, dans la contemplation du mystère du Christ. Rien ne les distingue plus.

« Ensemble, elles dépassent les catégories et les préjugés. Les unes, loin de fuir la responsabilité de leurs actes, choisissent d’en renverser les conséquences. Les autres laissent aussi derrière elles le passé, veulent vivre en communion de miséricorde à partir de ce qu’elles sont aujourd’hui. Ainsi le Christ libère peu à peu l’être vrai en chacune ; il ressuscite sans cesse les unes et les autres, les unes par les autres, les unes avec les autres 4. »
L’esprit de Béthanie anime [n.d.l.r. : ou a animé] aussi les Maisons Marie-Madeleine, les Foyers Lataste qui accueillent des marginaux et les Fraternités Lataste 5, groupes discrets qui rassemblent des laïcs sans considération aucune de situations passées et présentes de leurs membres. « On y chemine dans l’amitié quotidienne, recherchant ensemble une vie nouvelle éclairée peu à peu par l’Évangile et permettant à ceux qui le désirent d’entrer librement dans l’Église. »

Tous les Béthaniens savent que le seul vrai péché c’est de récuser la vérité, de déclarer bien ce qui est mal, amour ce qui n’est qu’égoïsme et orgueil. Pardessus tout une phrase de l’Évangile de saint Jean guide leur démarche : « Même si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur. »

Deux ouvrages historiques ont été publiés aux éditions du Cerf par le frère Jean-Marie Gueul­­lette, o.p. : Prêcheur de la Miséricorde (1992) et Ces femmes qui étaient mes sœurs (2009). Le premier est l’édition critique des sermons du Père Lataste en prison, le second sa biographie. Nous aurons sans doute l’occasion d’y revenir.

  1. Marie-Madeleine a encore quelque chose à dire http://www.editionsducerf.fr/html/fiche/fichelivre.asp?n_liv_cerf=5572»
  2. Sœur Emmanuelle-Marie, Marie-Madeleine a encore quelque chose à dire, éditions Nouvelle Cité/Cerf, 230 pages, 8 e. http://www.editionsducerf.fr/html/fiche/fichelivre.asp?n_liv_cerf=5572»
  3. Dominicaines de Béthanie, qui êtes-vous ? Maison généralice de Béthanie, 91910 St-Sulpice-de-Favières. Ouvrage épuisé.
  4. Dominicaines de Béthanie, qui êtes-vous ? Maison généralice de Béthanie, 91910 St-Sulpice-de-Favières. Ouvrage épuisé.
  5. N.D.L.R. : D’après le site de la Conférence des évêques de France, en 2011, « ce sont de petites cellules de croyants désireux d’être témoins de la miséricorde et de l’espérance en étant ouverts plus particulièrement aux meurtris de la vie ». Contact : Christiane Thévenon, 60, route de Vourles 69230 Saint-Genis-Laval. Tél . : 04 78 56 11 31.