Dans ce duo de terroristes tchétchènes, après l’odieux attentat de cette semaine, la police de Boston a cherché le jeune frère, et elle l’a trouvé. Elle a pu l’arrêter, blessé mais vivant, après un travail remarquable de repérage, parmi une population traumatisée mais globalement soudée autour d’un patriotisme resté robuste. Comme l’a justement remarqué le président des Etats-Unis Barack Obama, dans une telle épreuve, qui a fait couler le sang des innocents, il n’y a plus qu’un seul camp, celui du pays qui doit se défendre comme un seul homme. L’enquête de la police l’a montré, la haine aveugle dictée par l’islamisme radical est une fois encore à l’origine de cet acte terroriste intrinsèquement injustifiable. Si aucune haine adverse ne peut être admise, en revanche aucune faiblesse n’était permise : elle aurait consisté à trahir la liberté de tout un peuple, et au-delà, à compromettre la liberté du monde entier.
