Avons-nous fait le « bon choix » politique ? - France Catholique

Avons-nous fait le « bon choix » politique ?

Avons-nous fait le « bon choix » politique ?

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Avons-nous fait le « bon choix » politique ?
Le coup fait contre François Fillon – l’usage monstrueux d’éléments personnels transformés en « affaire d’État » – voici qu’il est à nouveau utilisé par les alliés de Macron et de François Hollande. Ces deux messieurs, sous le couvert d’une piétaille obéissante, aiment à plaquer côté mensonge les diverses vérités et opinions qui s’affichent sur les marches des élections présidentielles. But : afin qu’elles deviennent de sombres machines de guerre.

Première victime : l’ancien premier ministre, qui aurait tout intérêt aujourd’hui à reprendre le combat. Non pas tout seul mais avec un possible allié potentiel, Laurent Wauquiez, qui me paraît aujourd’hui apte à prendre les rênes d’une droite tétanisée.

Y aura-t-il une seconde victime ? J’entends en effet que Marine Le Pen – qui n’appartient pas évidemment à l’orbite de mes propres soleils – se retrouve calomniée de telle façon que le « bon peuple » de France (!!!) va s’imaginer qu’il faut croire encore à ces manœuvres incendiaires : ne lui suffit-il pas de s’être grossièrement mépris au sujet de l’ancien ministre à propos du complot malsain qui lui fut opposé, au point que la Droite a perdu l’énergie dont elle avait et a toujours grand besoin ? Puisque Fillon a été propulsé dans la marmite de type hollandienne et ainsi vaincu, voici notre duo tenté par la même mauvaiseté afin qu’à nouveau la Gauche renaisse en les malices du second Hollande ? À quoi donc aura servi d’avoir constaté l’incompétence du premier ?

Par bonheur pour la présidente du FN, Marine Le Pen, habituée qu’elle est à recevoir les compliments de ses adversaires, aux visages souvent ennemis, n’est plus et depuis longtemps naïve au point de se laisser avaler toute crue comme une vulgaire carpe.

La quasi candeur de François Fillon, hélas, et de ses fidèles amis aussi bien que de ses militants a provoqué, chez nombre d’électeurs de droite, une incompréhension de ce qu’ils devaient faire, ce qui, naturellement, a servi aux frontistes aussi bien qu’au trop jeune Macron tel que l’a éduqué sa femme.
L’homme qui donc fut ciblé comme « criminel politique », accusé par la voix d’un sinistre « Canard » de méfaits publics – seulement personnels entre lui et son épouse, de surcroît légaux mais considérés par ses adversaires comme grossièretés, ce qui lui fit prendre pour des lys des roses noires des plus épineuses…

Mais est-il imaginable que, dans les mois prochains, des « surprises » désagréables viennent coiffer de façon tragique Monsieur de Pays-Bas lié à son jeune élève ?… Ce qui est troublant, c’est la sorte de mutité antidéontologique pratiquée par la Grasse Presse de France : dont on sait qu’elle ne veut jamais faire connaître ce qui nuit à ses principes et ses opinions. Bonjour à la Vérité !

Je ne donnerai ici qu’un seul exemple, d’abord en posant une question : les Français peuvent-ils apprécier qu’un président à peine élu se révèle avoir gardé pour lui des secrets concernant essentiellement leur nation ? C’est ainsi qu’un document1 précis et loquace nous assure que Monsieur Macron se trouve plutôt l’ami de tentateurs d’importance alors que son prénom signifie tout de même « Dieu avec nous »… En effet, la « macronnite » dont il est atteint n’est pas anodine : elle relève de l’amour singulier qu’il porte aux financiers états-uniens, amour d’une efficacité tout autre que celle dont il fit preuve dans les quelques travaux qui ont constitué son « fort faible » curriculum vitæ… Et en France, sur les dix « hauts financiers » qui comptent le plus sérieusement, quatre d’entre eux montent la garde autour du futur élu, en liaison naturellement avec les collègues yanquis… Ce qui s’opère entre eux tous n’est pas en premier l’intérêt de la France.

Je détiens donc deux documents 2. qui commencent à voyager dans les milieux souffrants de politicomanie : un exemple très concret qui détailles les faits et gestes de la vie de Macron jusqu’au jour où il devint ministre de l’Économie à Paris… grâce aux délicates interventions yanquis (secrètes certainement) auprès de Hollande. Ne pas croire surtout que les financiers de haut vol espèrent des « renvois de bons procédés » et de délicatesses.

  1. Ce document, surchargé en informations, n’a d’autre signature qu’anonyme. Les lecteurs se douteront pourquoi.
  2. Ils seront envoyés sur mon Journal, l’un d’eux avec cette note, le second la prochaine fois.