Tweet de Luc aujourd’hui 24 septembre. Il y relate que la mère et les frères de NS, gens au demeurant fort honorables, étant venus le voir et ne pouvant l’approcher à cause de la foule, quelqu’un le prévient : « Ta mère et tes frères sont là dehors : ils veulent te voir. »… Réponse de NS, tellement scandaleuse que, craignant d’être taxés de parti pris, nous avons voulu recopier mot à mot la réponse en question : « 921 – Ma mère et mes frères sont ceux qui écoutent ma parole et la mettent en pratique ».
Comme illustration et défense de la famille recomposée, on ne fait pas mieux ! Provocation délibérée ? Inconscience coupable ? Toujours est-il que voici une fois de plus la bienséance bafouée, la vertu outragée, la propriété privée fragilisée, le patrimoine lui-même lésé. Accusations graves que nous ne portons pas à la légère tant les propos de N.S. (nous ne pouvons les citer tous ici, mais nous y viendrons), heurtent les principes qui fondent la société.
Il est temps que les propriétaires, les actionnaires, les décorés, les prébendés, les inconnus des services de police, les biens sous tous rapports, bref, que les honnêtes gens se dressent et agissent.
Agir comment ? Avec précaution car NS a su s’entourer d’une bande de repris de justice, femmes de mauvaise vie, éclopés de la vie, et même, hélas, personnes a priori recommandables, fonctionnaires, officiers, artisans, subjugués par ses propos — des propos qui se retourneront contre lui si nous savons nous y prendre. Il suffit de lui poser des questions pièges qui l’obligeront à se dévoiler.
Reste à trouver celui qui, parmi ses proches, nous aidera le moment venu. Nous y travaillons.
interim
