Je n’ai pris connaissance du texte du P. Gitton dans le FC n°3085, qu’après avoir répondu aux questions de Marc Fromager sur l’urgence de la Mission. Nous nous rencontrons sur bien des points, mais j’ai l’impression que nous divergeons sur d’autres. Il voit le problème, mais sa réponse est très allusive, et semble dire que, même si Dieu est miséricordieux, nous devons faire « comme si » le salut de tous les hommes ne dépendait que de nous. J’aimerai qu’il précise sa pensée. Car il est impossible de se satisfaire d’un « comme si ». Ou plutôt, une telle faiblesse risque d’être retournée contre nous par nos adversaires.
Fabrice Hadjadj
