Dans une chronique précédente, nous posions la question au sujet du passé de Paul de Tarse (rien de moins tout de même que la participation à des lapidations) : le Pape, qui s’honore de sa proximité avec ce personnage, donc, le Pape sait-il ?
Nous étions d’autant plus fondés à nous interroger que le présumé innocent avait avoué. Je cite : « Je ne fais pas le bien que je voudrais faire, mais je fais le mal que je ne voudrais pas ». Un mandat d’arrêt international a donc été lancé. On aurait pu croire, espérer, ne serait-ce que pour permettre aux familles des victimes de commencer leur travail de deuil, que Paul de Tarse déférerait aux réquisitions… Nous en sommes loin ! Un jour, il s’échappe de sa prison avec l’aide de complices, une autre fois, il sème la zizanie entre les jurés au point que le Président doit faire évacuer la salle. Maintenant, le voici qui allègue l’incompétence du Tribunal en mettant en avant d’obscures questions de citoyenneté dans le but de se réfugier dans une procédure d’extradition qui ne pourra que retarder la marche de la justice ! Tout cela enchante ses partisans sur lesquels il exerce une véritable fascination… plus particulièrement sur les plus jeunes dont certains l’accompagnent dans ces pérégrinations.
Il est temps que cela cesse et que la Justice de l’Eglise passe sans plus attendre. Il est temps que le dossier soit transmis à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi.
Il est temps que Paul de Tarse soit réduit à l’état laïc !
