Cette œuvre, qui compte désormais plus de 1 500 membres sur les cinq continents, se fixe pour objectif est de « souffler sur les braises pour ranimer le feu », conformément au rôle des mamans dans le foyer. Aujourd’hui, un feu doit être rallumé : celui de la foi dans le cœur des enfants. Il peut l’être, comme au temps de sainte Geneviève, par la prière et la pénitence de « ces femmes qui veillent sur la cité ».
Cette œuvre s’adresse ainsi aux mères, grands-mères, amis de la jeunesse et éducateurs : pourquoi ne pas insuffler cette vie de foi, ce sens moral, ces valeurs authentiques dans le cœur des enfants, des adolescents et des jeunes ? Tel était le projet de grands éducateurs comme Jean Bosco, Angèle Merici, Jean-Baptiste de La Salle, mais aussi Marie-Sophie Barat, Jean-Baptiste Muard, Gaston Courtois…
L’engagement consiste simplement à :
– participer à l’Eucharistie une fois par semaine (en dehors du dimanche) ou faire 20 minutes d’adoration ;
– prier la Vierge Marie, Mère de l’Amour, par un chapelet chaque semaine ;
– offrir une souffrance, une épreuve, faire un sacrifice ou une pénitence.
Tout cela pour la conversion et la sanctification de la jeunesse.
Uniquement spirituel, cet engagement ne comporte ni réunion, ni cotisation. Il ne sépare ni des paroisses, ni des autres œuvres. Pour aider à tenir dans la durée et approfondir la tâche de parent ou d’éducateur, un Bulletin de liaison sans abonnement est envoyé tous les mois : il comporte des textes ou prières sur l’éducation, pour orienter la réflexion et éclairer dans les préoccupations de la vie quotidienne ; mais aussi de courtes vies de saints, en rapport avec la jeunesse ou s’étant consacrés à cet apostolat. Ainsi que des intentions qui peuvent être confiées à Mater Amoris.
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Si vous désirez vous unir à l’Œuvre Mater Amoris pour la sanctification de la jeunesse, signalez-vous à Mater Amoris, 23, rue de Varize 75016 Paris
