Guerre terroriste dans l’aéroport et le métro de Bruxelles - France Catholique
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Van Eyck, l'art de la dévotion. Renouveau de la foi au XVe siècle
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Guerre terroriste dans l’aéroport et le métro de Bruxelles

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Des bombes ont éclaté ce matin dans l’aéroport et le métro de Bruxelles, quatre jours après l’arrestation du jeune terroriste des attentats de Paris Salah Abdeslam à Molenbeek, le faubourg gangrené de la capitale belge. Etrange coïncidence, qui ressemble de très près à une sinistre vengeance, même si cette opération correspond à un niveau de préparation assez élevé, mais l’un n’empêche pas l’autre chez les experts du Djihad islamiste…

Cette fois, le bilan s’élève, semble-t-il, à une trentaine de morts et à une centaine de blessés. En prime, des scènes d’horreur et de chaos indescriptibles, surtout sur la plaque tournante de l’aéroport international de Zaventem. Et une sensation généralisée d’insécurité gagne peu ou prou l’ensemble des pays voisins et partenaires de la capitale administrative de l’Europe supranationale… C’est évidemment le but théorique du terrorisme : semer la peur.

En revanche, face à cette menace immonde dans sa lâcheté qui frappe aveuglément des innocents, les chefs d’Etat et les gouvernements concernés, en particulier en Belgique et en France, cherchent à réagir le mieux possible, et à juguler les réseaux de l’assassinat politique islamiste. Leur but pratique : rétablir la paix. Pour cela, un seul moyen : gagner cette guerre implacable.