Avis de Macronisation générale - France Catholique
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Avis de Macronisation générale

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Face à la gravité de la situation, un Avis de macronisation générale a été lancé hier à la télévision d’Etat par M. Xavier Bertrand, président Républicain de la Région européenne des Hauts-de-France. En citoyen conscient des dangers qui menacent son pays, il veut mobiliser dans les plus brefs délais ses compatriotes contre le risque imminent d’invasion des urnes par des bulletins du Front National.

Dans l’état actuel des choses, les autres phénomènes ou épiphénomènes qui se sont récemment produits, licenciements d’employés par centaines, départ de l’industrie à l’étranger, islamisation planétaire, attentats terroristes, menaces de guerre mondiale, émeutes urbaines, assassinat de policiers transformés en chair à canon par le régime de M. Hollande, multiplication des zones de non-droit hors contrôle, suicides répétitifs d’agriculteurs, désertification des campagnes, paupérisation générale de la « France périphérique », escroqueries publiques, échec scolaire massif, etc., tout cela passe évidemment tout à fait au second plan par rapport à la gravité de la montée de l’extrême droite en France, ce fléau suprême à traiter en exclusivité permanente.

Dans ce contexte, on a déjà dénoncé publiquement quelques tentatives de désertion dans les rangs des conscrits français. Dangereux insoumis, le citoyen Mélenchon Jean-Luc, qui se prétendait engagé sur un « Front de Gauche », fait la sourde oreille malgré des interrogatoires répétés et de nombreux rappels à l’ordre. On lui a pourtant rappelé les exercices effectués par lui lors des grandes manœuvres de la glorieuse campagne de 2002 contre Jean-Marie Le Pen sous la bannière du Général Chirac, suppléant du Général Jospin exempté du service obligatoire…

On a signalé aussi un déserteur dans les rangs du Parti des Républicains, le susnommé Laurent Wauquiez, un prétendu franc-tireur qui se dérobait à son devoir civique en refusant de se laisser macroniser avec ses camarades.

En revanche, M. Fillon, qui avait subi de longue date un traitement adéquat, a immédiatement compris quel était son devoir de citoyen en renonçant à toute velléité d’opposition. Et Nicolas Sarkozy a su lui aussi se montrer raisonnable en approuvant, au moins à titre personnel, le bien-fondé de la démarche unique de salut public de M. Macron. Et en promettant de cesser toute activité politique. Mais M. Bertrand a exprimé publiquement le souhait que M. Sarkozy puisse s’engager davantage en acceptant d’inviter publiquement tous ses anciens administrés à le rejoindre dans le grand mouvement de ralliement unanime.

Sans plus attendre, excellents citoyens, MM. Estrosi et Le Maire ont fait savoir qu’ils étaient bons à tout faire.

Cependant, tous les citoyens sont invités à désigner aux autorités politiques et morales compétentes les personnages suspects de manquer d’enthousiasme vis-à-vis de la campagne de France engagée par Emmanuel Macron. L’heure est grave : il s’agit de sauver l’Europe de Bruxelles de l’abominable danger populiste du Front national.

Et donc, la mobilisation de toutes et de tous, Françaises et Français, autour de l’incontestable et inévitable candidature d’Emmanuel Macron demeure une priorité absolue. Vive la République ! Vive l’Europe !

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