Et voilà, ça leur pendait au nez : à force de chahuter, les Grecs ont été privés de télé. Enfin, quelques Grecs seulement : il semble que l’audience cumulée des chaînes publiques (radio et télévision) ne soit que marginale, bien que l’institution emploie près de 3.000 personnes, parmi lesquelles certaines émargeraient sans avoir jamais mis un pied dans la maison.
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