S’il est une tradition apparemment acquise dans l’histoire politique française depuis la IVe République, c’est l’absence de candidatures ouvertement confessionnelles lors des grands scrutins nationaux. Certes, le Mouvement républicain populaire (MRP) qui fut au centre de l’échiquier après la Seconde Guerre mondiale était surnommé le « Mouvement des Révérends Pères » en raison de la présence massive de figures de la démocratie chrétienne dans ses rangs, mais la dimension religieuse n’était aucunement (...)
Dieu et le pape !
