Sous la couleur rouge affichée, qui la distingue de ses concurrentes, la CGT pratique la cohabitation harmonieuse des classes avec, il faut le souligner, une attention particulière pour les plus fortunés qu’elle bichonne ce qui fait son excellente réputation dans les milieux des grands financiers, entrepreneurs, ou, tout simplement héritiers des grandes fortunes.
Mais ce qui distingue tout particulièrement la C.G.T., c’est le bien commun. On a pu le constater lorsque la situation de la Nation exigeait de chacun qu’il s’oublie pour sauver les entreprises en risque de naufrage annoncé. On pourrait multiplier les témoignages émouvants, pathétiques parfois de ceux qui l’ont appelée à l’aide : « J’étais sur le point de sombrer et c’est la C.G.T. qui est venue à mon secours, sauvant non seulement mon personnel, mais encore ma mission commerciale ».
Ainsi, la C.G.T., s’est acquis la reconnaissance de tous sans distinction de clase sociale, chacun y étant assuré d’y être accueilli à la mesure de ses moyens. Grâce à la C.G.T., nombreux sont les jeunes entrepreneurs, mais aussi les chefs d’entreprises confirmés qui ont pu élargir le champ de leurs activités, nouer des contrats commerciaux de confiance avec des pays étrangers, certains que les transports de marchandises seraient assurés sans aucun accident. La C.G.T. peut , de ce fait, s’enorgueillir d’être un partenaire efficace dans la création d’emplois stables, pérennes, facteurs d’ascension sociale.
Oui, la Compagnie Générale Transatlantique a bien mérité notre reconnaissance.
Vive la C.G.T. !
Philibert Arisien
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