La France mise en péril - France Catholique
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Van Eyxk, l'art de la dévotion
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La France mise en péril

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Décidément la France va très mal : la façon dont se sont emparé des affaires de l’État François Hollande et Emmanuel Macron, – ce dernier enrichi curieusement d’un troupeau d’électeurs fournis par le généreux François Bayrou, tous ainsi traités comme un vil bétail –, a de quoi renverser les citoyens les plus rudes. En vue de quoi ? De mettre François Fillon hors-jeu, malhonnêtement puisqu’il n’y avait pas d’autre solution ! Action honteuse donc, qui a provoqué un tel empuantissement du monde politique que même la Justice s’en est trouvée engloutie comme dans un « cloaque merd… », que l’on veuille bien me pardonner ce gros-mot à peine caché. Il est vrai que le comportement de la Justice française a été et reste si odieux en cette affaire que je n’ai pas réussi à éliminer des mes neurones l’équivalent d’une vomissure. L’exemple faramineux donné par le citoyen Hollande, l’initiateur premier de la tragédie, qui prétend toujours être notre président, ne pouvait donner que de tels fruits bons à n’être que jetés à la poubelle. Il lui est arrivé de réaliser quelques actions utiles et même honorables, mais cela n’efface en rien la multitude de celles dont nous n’avons qu’à nous plaindre…)

Comment le soi-disant politicien sans ce réel passé qui aurait été la preuve de ses compétences et sur qui veillent encore avec application les patrons des Banques – sans oublier les coteries LGBT soucieuses de lui venir en aide, car bien des milliardaires qui le soutiennent appartiennent à cette franc-maçonnerie informelle – comment donc a-t-il pu aussi prestement se retrouver projeté vers les hauteurs de l’élections présidentielle après avoir tout de même réussi, sans en paraître le metteur en scène, à faire de François Fillon le coupable d’un crime innommé pour cause de non-existence… Il fallait ainsi l’accabler pour se débarrasser de lui, candidat par trop encombrant… Et nombre de citoyens ont cru à la vérité de cette farce immonde, tant les moyens de la Presse sont puissants, même quand elle ment ! (Dans un futur plus ou moins lointain il nous faudra insister pour que ce « jeune homme » – il ne l’est qu’en trompe l’œil… – demande honnêtement pardon à sa victime.)

J’approuve donc que cette « victime » ait osé rester debout et continue d’oser se maintenir pour que ce soit les seuls électeurs qui aient à trancher le débat et non ces cohortes étranges où les magouilleurs sont légions, les lâches sveltes comme des serpents, les amis plus prompts que le vent à disparaître. Et non pas les instruments et les publications d’une Presse à la dévotion de la Gauche.

J’attends avec impatience l’ouverture officielle de la campagne électorale pour que de tels propos puissent enfin être vraiment entendus par un peuple français totalement (ou presque) anesthésié. Il est vrai que le gros de la Presse s’est en quelque sorte empressé d’applaudir ceux qui leur semblaient être les vainqueurs : pour moi, j’attendrai de voir quel sera le score de chacun quand les Français auront compris quelle fut leur lâcheté…

La presse donc, du moins celle qui ne fait qu’informer à partir des seuls messages fournis par les titulaires officiels – suivez « le Monde » par exemple, ou bien les journaux d’Arte ou de France 2… –, ne s’est pas aperçue qu’elle est comme interdite de la vraie parole : certes, toujours se posant des questions, traînant les pieds le long des trottoirs et même salissant ses chaussures dans les caniveaux les plus profonds, quoique toujours persuadée d’être du « bon côté » des pouvoirs : je vois cela en ce moment où l’insipide Macron semble détenir la clef de la présidentielle !

Que se passe-t-il en effet depuis qu’il reçoit de nombreux visiteurs, des indignes issus de la gauche comme de la droite et même du centre ? La dignité ne se trouve plus que chez quelques honorables restés fidèles à leur ami dans l’épreuve, François Fillon : sans prendre prétexte qu’il traverse en ce moment des difficultés d’importance pour l’abandonner tel une larve comme s’il était plus qu’un moins que rien. Voyez comme ont couru par exemple Monsieur Bruno Le Maire 1 et François Bayrou, qui en un autrefois d’il y a deux semaines l’appelait leur « ami » !

Que savons-nous ? Que les premiers coupables ne peuvent être que les parrains plus ou moins occultes du sieur Emmanuel Macron et cela fut mis en évidence dès les premiers soubresauts de l’Affaire Fillon : ils avaient sans doute reniflé tout le bénéfice qui s’en trouverait discrètement décacheté dans une des poches de l’ancien chéri des Banques quoique toujours en lien avec ces amis dangereux que le sieur Hollande est aller visiter il n’y a que quelques jours, les précieux copains du Grand Orient.

C’est ainsi qu’il sort (enfin !) des propositions de programmes comme émises sous la dictée d’on ne sait quels inconnus et dont la plupart sentent l’horrible parfum de la démagogie. Etc..

Macron sera-t-il finalement élu ? Je n’y crois pas, car le pourcentage de citoyens écœurés par ces événements scandaleux, notamment du LR, iront soit voter quand même pour Fillon, hélas fatalement perdant (?), soit pour Marine Le Pen… À moins d’un retournement imprévisible. À moins d’une donne pour l’instant inconnue…

À moins d’un sursaut qui serait celui de la Vérité.

Dominique DAGUET

PS. : Ces quelques remarques, qui ne me font pas oublier celles des articles précédents, m’incitent à faire un peut-être étrange détour : revenir à l’annonce que fit à Marthe Robin la Vierge Marie à propos de ce qui adviendrait à la France. Elle s’achevait sur une conclusion des plus étonnante : après l’horreur décrite sur ce que notre pays allait connaître (« descendre au plus bas… »), surviendrait, avait-elle annoncé, la surprenante « remontée » de notre peuple vers la lumière, vers la foi, et même d’un amour qui lui serait accordé dans nombre de nations.

Ce qui survient de multiples côtés, aussi bien politique que sociétal, culturel, religieux, pourrait laisser penser que nous ne serions qu’au début de l’événement tragique dont la Providence seule viendrait à bout…

  1. Il a donné comme justification « qu’il démissionnait de ses « fonctions de représentant pour les affaires européennes et internationales de la campagne de François Fillon », en rappelant que « le candidat de la droite avait promis de démissionner en cas de mise en examen : ajoutant qu’il croyait « au respect de la parole donnée ».-, sans même avoir, en bon apôtre, écouté les raisons données par Fillon de ce recul. D’où le vigoureux « Je ne céderai pas, je ne me retirerai pas ».